Description du monde de Troy
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Description du monde de Troy
- Le Grand Phare de Sikhet :
Superficie :
Moins de 1 km².
Plus grandes distances :
800 m du nord au sud et 350 m d’est en ouest.
Paysage :
C’est un pic rocheux au milieu de la mer du Ponant.
Population :
Gardiens ~ 2.000H.
Souverain :
Le Gardien-chef Brimst dépendant lui même du Conseil des Sages d’Eckmül.
Capitale :
Le Phare de Sikhet.
Autres villes importantes :
Aucune.
DIVERS :
- Au départ, cette île était juste un phare. Puis des marins ont commencé à s’y arrêter pour la nuit, ensuite tout s’est passé très vite et le petit phare s’est transformé en un véritable village relais. Il règne sur toute l’île la même ambiance que l’on peut trouver dans les tavernes des grands ports de Troy. Le gardien-chef Brimst règne sur la ville, mais celle-ci dépend toujours de l’Armalie. Brimst est un rude gaillard, ancien marin, il fut nommé gardien voilà déjà vingt ans, en 3955. Aujourd’hui âgé de 65 ans, il est respecté de tous, mais corrompu jusqu’aux os.
- Les îles Thona :
Superficie :
Environ 20.000 km².
Plus grandes distances :
Du nord au sud environ 250 km et d’est en ouest environ 100 km.
Paysage :
Ce sont des plaines parsemées de collines et de bois.
Population :
Thonantes ~ 5.000H.
Souverain :
Le Doyen Zu-Tong Chang-Tsian dépendant lui même du Shäh.
Capitale :
Pas de capitale, mais la faculté abrite environ 4.500 personnes.
Autres villes importantes :
Aucune.
DIVERS :
- Ce groupe d’îles appartient officiellement au Haut-Darshan, mais il est géré par le doyen de la grande faculté de médecine du continent Darshanide, qui y est installé depuis plus de cinq siècles.
- C’est de cette faculté que sortent les plus grands charlatans, euh…pardon, médecins de Troy.
- L’Hédulie et ses 77 Baronnies:
- Bordée de trois mers, l’Hédulie est une grande excroissance du principal continent de Troy, sorte de bubon brumeux et baronneux. La terre d’Hédulie est caillouteuse, venteuse, ennuyeuse, propice aux animaux laineux, aux murets de pierre sèche, aux manoirs hantés, aux instruments de musique assimilables à des armes cruelles, aux parapluies, et à l’alcoolisme rampant. Et même parfois à l’alcoolisme qui ne rampe pas. Le Nord de l’Hédulie est glacé, le Sud est frisquet. Sa surface est divisée en 77 Baronnies aux frontières sans cesse en mouvement.
- Les 77 Baronnies d’Hédulie :
Superficie :
Entre environ 20.000 km² et 150.000 km² selon les baronnies.
Paysage :
Généralement, plaine parsemée de collines et de bois sauf à l’extrémité nord où se sont des plaines gelées.
Population :
Héduls ~ 15.000.000h répartis dans les 77 baronnies.
Souverain :
Le Baron de chaque baronnie, sachant que chaque baronnie porte le nom de son baron.
Capitale :
Le fief de chacun des barons.
DIVERS :
- Les barons d’Hédulie, il semblerait que le mot « paix » leur soit totalement inconnu, et même la notion de trêve est parfois difficile à expliquer. Sauf à l’occasion du grand tournoi de Culhaig, bien entendu. Pour déterminer l’origine de cette attitude hargneuse et vindicative, on a souvent évoqué la difficulté de vie dans les Baronnies. Mais la terre pauvre et caillouteuse, le climat rude, n’expliquent pas tout. Il faut bien l’avouer, le fond du problème est ailleurs : les barons sont généralement des crétins.
- Les barons ne font pas la guerre par plaisir, mais pour maintenir les traditions et préserver un équilibre social qui a fait ses preuves. Toute la difficulté de l’exercice consiste à ne pas vaincre trop vite ses voisins. Comme disait Aulin-Flamboyant, quatre-vingt-septième baron du nom et excellent stratège, ce n’est pas rigolo de jouer tout seul. Les barons se réunissent parfois pour s’affronter lors de grands tournois. C’est alors l’occasion de trêves, personne ne se bat, excepté sur les pelouses. Certains barons peuvent lancer des défis personnels, mettant en jeu leurs terres et leurs châteaux. Dans ce cas, ils s’affrontent à mort, sous l’œil attentif des soldats, heureux de voir pour une fois le patron faire le boulot lui-même.
- La tradition des tournois remonte à la plus haute antiquité des barons Héduls. En effet, les premiers barons avaient remarqué qu’il est lassant de se faire sans cesse la guerre, et que parfois une petite détente ne fait pas de mal. Ils convinrent donc que pour se changer les idées, entre deux batailles bien sanglantes, rien ne valait une bonne bagarre devant les dames. Les tournois sont pour celles-ci l’occasion de se parer de leurs plus beaux bijoux et de dépenser plein de sous en robes neuves. Les barons leur pardonnent une telle prodigalité, puisque les dames leur expliquent qu’il s’agit avant tout de faire honneur à l’étendard de la Baronnie. Il y a donc deux affrontements : celui qui oppose des hommes couverts de ferrailles et celui qui oppose des dames drapées dans des soieries. L’un fait moins de bruit que l’autre, mais ça n’est pas toujours le moins violent.
- Le plus réputé des tournois est celui de Culhaig, et il attire régulièrement les plus vaillants chevaliers d’Hédulie. Il est aujourd’hui composé de sept épreuves très codifiées : la joute à la lance de 19 pieds (1 pied = 0,325 mètre), le combat à la masse d’armes, l’affrontement à l’épée, le duel de haches, la course de chars, le concours de poésie et le tir à l’arc sur adversaire impassible. Pour cette dernière épreuve, l’usage des pommes et des enfants est strictement prohibé.
- Géographiquement, les baronnies s’étagent d’une zone tempérée, comparable à la Souardie, jusqu’à des contrées nordiques et neigeuses où la guerre ne peut battre son plein qu’en été. La plus grande partie des terres est située sur des plateaux rocheux exposés au vent, surplombant des lochs, et plus au nord des fjords. Les paysans doivent, avant tout labour, extraire du sol les innombrables cailloux qui pourraient endommager une charrue, et ils entassent ces pierres en d’interminables murets qui barrent le paysage. L’organisation sociale est assez simple : les paysans nourrissent les soldats et les barons. Les soldats se font tuer pour les barons et tuent soldats et paysans du territoire voisin. Les barons regardent mourir soldats et paysans, et tentent de déterminer si leur honneur est sorti grandi de l’affaire. Une chose est certaine : si la population des Baronnies était anthropophage, personne ne manquerait de viande.
- Deux barons sont assez malheureux : les seigneurs de Cromlech, dans la mer Grise, et Bastillac, dans la mer d’Hédulie. En effet, leurs terres sont des îles, et si les frontières sont certes plus aisées à défendre, il est en même temps très difficile d’envahir le voisin par surprise. Ils consacrent donc des sommes énormes à faire construire des navires, activité assez inhabituelle chez les barons qui ne sont guère marins. Depuis plusieurs ères, Bastillac tente donc régulièrement de déferler sur les côtes escarpées de Nuit-Safran à l’aide d’immenses radeaux couverts de chevaliers et de fantassins. Tout aussi régulièrement, les assaillants sont écrasés par les rochers lâchés depuis le haut des falaises de Nuit-Safran, aucune plage ne permettant un débarquement facile sur cette côte. De l’autre côté, Cromlech s’attaque assidûment à Cœur-Couillu ou à Ocre-Jade, avec aussi peu de réussite. On ne dira jamais assez à quel point il est amer d’être baron insulaire.
Superficie :
Moins de 1 km².
Plus grandes distances :
800 m du nord au sud et 350 m d’est en ouest.
Paysage :
C’est un pic rocheux au milieu de la mer du Ponant.
Population :
Gardiens ~ 2.000H.
Souverain :
Le Gardien-chef Brimst dépendant lui même du Conseil des Sages d’Eckmül.
Capitale :
Le Phare de Sikhet.
Autres villes importantes :
Aucune.
DIVERS :
- Au départ, cette île était juste un phare. Puis des marins ont commencé à s’y arrêter pour la nuit, ensuite tout s’est passé très vite et le petit phare s’est transformé en un véritable village relais. Il règne sur toute l’île la même ambiance que l’on peut trouver dans les tavernes des grands ports de Troy. Le gardien-chef Brimst règne sur la ville, mais celle-ci dépend toujours de l’Armalie. Brimst est un rude gaillard, ancien marin, il fut nommé gardien voilà déjà vingt ans, en 3955. Aujourd’hui âgé de 65 ans, il est respecté de tous, mais corrompu jusqu’aux os.
- Les îles Thona :
Superficie :
Environ 20.000 km².
Plus grandes distances :
Du nord au sud environ 250 km et d’est en ouest environ 100 km.
Paysage :
Ce sont des plaines parsemées de collines et de bois.
Population :
Thonantes ~ 5.000H.
Souverain :
Le Doyen Zu-Tong Chang-Tsian dépendant lui même du Shäh.
Capitale :
Pas de capitale, mais la faculté abrite environ 4.500 personnes.
Autres villes importantes :
Aucune.
DIVERS :
- Ce groupe d’îles appartient officiellement au Haut-Darshan, mais il est géré par le doyen de la grande faculté de médecine du continent Darshanide, qui y est installé depuis plus de cinq siècles.
- C’est de cette faculté que sortent les plus grands charlatans, euh…pardon, médecins de Troy.
- L’Hédulie et ses 77 Baronnies:
- Bordée de trois mers, l’Hédulie est une grande excroissance du principal continent de Troy, sorte de bubon brumeux et baronneux. La terre d’Hédulie est caillouteuse, venteuse, ennuyeuse, propice aux animaux laineux, aux murets de pierre sèche, aux manoirs hantés, aux instruments de musique assimilables à des armes cruelles, aux parapluies, et à l’alcoolisme rampant. Et même parfois à l’alcoolisme qui ne rampe pas. Le Nord de l’Hédulie est glacé, le Sud est frisquet. Sa surface est divisée en 77 Baronnies aux frontières sans cesse en mouvement.
- Les 77 Baronnies d’Hédulie :
Superficie :
Entre environ 20.000 km² et 150.000 km² selon les baronnies.
Paysage :
Généralement, plaine parsemée de collines et de bois sauf à l’extrémité nord où se sont des plaines gelées.
Population :
Héduls ~ 15.000.000h répartis dans les 77 baronnies.
Souverain :
Le Baron de chaque baronnie, sachant que chaque baronnie porte le nom de son baron.
Capitale :
Le fief de chacun des barons.
DIVERS :
- Les barons d’Hédulie, il semblerait que le mot « paix » leur soit totalement inconnu, et même la notion de trêve est parfois difficile à expliquer. Sauf à l’occasion du grand tournoi de Culhaig, bien entendu. Pour déterminer l’origine de cette attitude hargneuse et vindicative, on a souvent évoqué la difficulté de vie dans les Baronnies. Mais la terre pauvre et caillouteuse, le climat rude, n’expliquent pas tout. Il faut bien l’avouer, le fond du problème est ailleurs : les barons sont généralement des crétins.
- Les barons ne font pas la guerre par plaisir, mais pour maintenir les traditions et préserver un équilibre social qui a fait ses preuves. Toute la difficulté de l’exercice consiste à ne pas vaincre trop vite ses voisins. Comme disait Aulin-Flamboyant, quatre-vingt-septième baron du nom et excellent stratège, ce n’est pas rigolo de jouer tout seul. Les barons se réunissent parfois pour s’affronter lors de grands tournois. C’est alors l’occasion de trêves, personne ne se bat, excepté sur les pelouses. Certains barons peuvent lancer des défis personnels, mettant en jeu leurs terres et leurs châteaux. Dans ce cas, ils s’affrontent à mort, sous l’œil attentif des soldats, heureux de voir pour une fois le patron faire le boulot lui-même.
- La tradition des tournois remonte à la plus haute antiquité des barons Héduls. En effet, les premiers barons avaient remarqué qu’il est lassant de se faire sans cesse la guerre, et que parfois une petite détente ne fait pas de mal. Ils convinrent donc que pour se changer les idées, entre deux batailles bien sanglantes, rien ne valait une bonne bagarre devant les dames. Les tournois sont pour celles-ci l’occasion de se parer de leurs plus beaux bijoux et de dépenser plein de sous en robes neuves. Les barons leur pardonnent une telle prodigalité, puisque les dames leur expliquent qu’il s’agit avant tout de faire honneur à l’étendard de la Baronnie. Il y a donc deux affrontements : celui qui oppose des hommes couverts de ferrailles et celui qui oppose des dames drapées dans des soieries. L’un fait moins de bruit que l’autre, mais ça n’est pas toujours le moins violent.
- Le plus réputé des tournois est celui de Culhaig, et il attire régulièrement les plus vaillants chevaliers d’Hédulie. Il est aujourd’hui composé de sept épreuves très codifiées : la joute à la lance de 19 pieds (1 pied = 0,325 mètre), le combat à la masse d’armes, l’affrontement à l’épée, le duel de haches, la course de chars, le concours de poésie et le tir à l’arc sur adversaire impassible. Pour cette dernière épreuve, l’usage des pommes et des enfants est strictement prohibé.
- Géographiquement, les baronnies s’étagent d’une zone tempérée, comparable à la Souardie, jusqu’à des contrées nordiques et neigeuses où la guerre ne peut battre son plein qu’en été. La plus grande partie des terres est située sur des plateaux rocheux exposés au vent, surplombant des lochs, et plus au nord des fjords. Les paysans doivent, avant tout labour, extraire du sol les innombrables cailloux qui pourraient endommager une charrue, et ils entassent ces pierres en d’interminables murets qui barrent le paysage. L’organisation sociale est assez simple : les paysans nourrissent les soldats et les barons. Les soldats se font tuer pour les barons et tuent soldats et paysans du territoire voisin. Les barons regardent mourir soldats et paysans, et tentent de déterminer si leur honneur est sorti grandi de l’affaire. Une chose est certaine : si la population des Baronnies était anthropophage, personne ne manquerait de viande.
- Deux barons sont assez malheureux : les seigneurs de Cromlech, dans la mer Grise, et Bastillac, dans la mer d’Hédulie. En effet, leurs terres sont des îles, et si les frontières sont certes plus aisées à défendre, il est en même temps très difficile d’envahir le voisin par surprise. Ils consacrent donc des sommes énormes à faire construire des navires, activité assez inhabituelle chez les barons qui ne sont guère marins. Depuis plusieurs ères, Bastillac tente donc régulièrement de déferler sur les côtes escarpées de Nuit-Safran à l’aide d’immenses radeaux couverts de chevaliers et de fantassins. Tout aussi régulièrement, les assaillants sont écrasés par les rochers lâchés depuis le haut des falaises de Nuit-Safran, aucune plage ne permettant un débarquement facile sur cette côte. De l’autre côté, Cromlech s’attaque assidûment à Cœur-Couillu ou à Ocre-Jade, avec aussi peu de réussite. On ne dira jamais assez à quel point il est amer d’être baron insulaire.
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